Films pour vitrages professionnels
Protection de l’environnement
Afin d’exécuter le Protocole de Kyoto, la France et l’Union Européenne se sont engagées, pour la période 2008-2012 à repousser l’émission de gaz toxiques.
Les leaders européens ont convenu en décembre 2012 de réduire de 20% leurs émissions par rapport à leur niveau de 1990, ce qui signifie une baisse d’environ 14% par rapport à leur niveau actuel. L’Europe s’est aussi engagée sur les trois « 20 » : une réduction de 20% de ses émissions de gaz à effet de serre en 2020, au moins 20% d’énergies renouvelables et une amélioration de 20% de l’efficacité énergétique.
L’objectif premier fixé par le Grenelle Environnement est de réduire les consommations d’énergie du parc des bâtiments existants d’au moins 38 % d’ici à 2020. Il est aussi prévu de rénover l’ensemble du parc de logements sociaux, avec, pour commencer, la réalisation des travaux sur les 800.000 logements.
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Solutions
Les films LLumar sont un excellent moyen de réduire la sollicitation des climatisations en été ou du chauffage en hiver.
La technicité des films va optimiser les performances du vitrage. Les films à basse émissivité offrent des solutions uniques de filtration et limitent ainsi les émissions de gaz à effets de serre.
Une réduction importante des pertes d’énergie est réalisée puisque la technologie du film permet de bloquer l’apport trop important de chaleur entrante en été ce qui évite la saturation des climatiseurs et à l’inverse renforce l’isolation thermique en hiver en limitant la perte de chaleur par le vitrage.
Un gouffre énergétique
Air conditionné
Le verre est très présent dans l’architecture. Qui dit verre dit luminosité, souvent accompagnée de trop de chaleur.
L’air conditionné permet d’avoir un climat intérieur agréable. Cependant il faut savoir que les appareils de climatisation classiques consomment beaucoup d’électricité, ce qui augmente les émissions de gaz à effets de serre et alourdissent les budgets.
En fonctionnant, les appareils de climatisation classiques rejettent de la chaleur qui contribue à une augmentation de la température dans les villes, le réchauffement climatique est donc renforcé.
Sur une année, le coût de la climatisation d’un bâtiment avec un rendement moins important s’avère plus onéreux que le coût du chauffage.
